1922 5hp type c geo ham elargie

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

Le 01/02/1922 0

Dans Citroën à collectionner

La type A puis la B 2 étaient des voitures à 4 places correspondant à la fois aux besoins et aux moyens de la plupart des automobilistes français de l'époque.

Mais André Citroën pensait à la clientèle au budget limité et aux débutants dans la conduite dont les femmes et les jeunes. Ainsi naquit, en 1922, la 5 CV.

La Citroën populaire

Cette oeuvre de Jules Salomon est présentée au Salon de Paris 1921 de la 5 CV type C.
Appelée 5 CV de par sa puissance fiscale. Très économique, robuste, elle marque le vrai début de la démocratisation de l’automobile; sa facilité de conduite et d’entretien en fait la première voiture des débutants et des femmes.

Elle sera peinte en jaune citron la plupart du temps d’où son nom de «Petite Citron».

1922 - 1924 La 5HP Citroën C2

Fruit de la collaboration de l'ingénieur Jules Salomon et de Monsieur A. MOYET, père de la 1ère Amilcar (qui a beaucoup de similitude avec la 5cv. : suspensions avant et arrière, groupe motopropulseur, etc), elle possède un moteur quatre cylindres, culasse détachable, vilebrequin soutenu par deux paliers bronze (bagues) etc.,

Le refroidissement se fait sans ventilation par thermosiphon et le radiateur forme un léger coupe-vent.
Les premiers modèles furent produits avec un allumage par bobine et batterie, supprimé en I923.

Les capots moteurs, première version étaient à 3 fentes verticales situées à leur partie arrière.

Le freinage est réalisé par la pédale de frein qui agit sur la transmission, et par le frein à main qui agit sur les roues arrière.

Caractéristiques de la Citroën C2 1922

Citroën type C, alias 5 CV. Puissance fiscale française 5 CV.
Moteur : 4 cylindres monobloc, à soupapes latérales, alésage 55 mm, course 90 mm, culasse amovible, cylindrée 856 cc. Vilebrequin 2 paliers. Puissance réelle 11 ch à 2100 tr/mn.
Circulation d`eau par thermosiphon (pas de pompe à eau, pas de ventilateur).
Graissage par barbotage.
Allumage de type original: par batterie et distributeur' (présenté en mai 1922, commercialisé en août 1922).
Démarrage électrique. Réservoir à l`avant (18 litres).
Embrayage : à disque sec unique.
Boîte de vitesses : 3 vitesses. Levier à rotule au centre du plancher.
Transmission : arbre avec flector Hardy, pont arrière à carter embouti.
Eclairage électrique. Suspension : 4 ressorts quart-elliptiques.
Freins : à pied sur transmission, poulie à la sortie de boîte (pédale à droite. accélérateur au centre). A main sur tambours des roues AR.
Volant : à 3 branches en aluminium.
Pneus : Michelin 650 x 80.
Châssis : empattement 2,25 m. \foies AV et AR 1.18 m. Longueur hors tout 3,20 m. Largeur hors tout 1,40m.. Hauteur (capote levée) 1,55 m.
Poids : 543 kg à vide.
Carrosserie : torpédo 2 places… Pointe arrière avec coffre, roue de secours sur côté gauche, 1 porte côté droit, ailes plates à rebord rapporté. Variante : le cabriolet.
Performances : vitesse maxi. 60 km/h. Consommation aux 100 km : essence 5 litres/100 km.

1922 5hp type c cabriolet

1925 la Citroën 5 CV type C 3 cabriolet «Ailes rondes››

Courant 1925, la 5 CV type C3 reçut, sans autre modification. des ailes rondes semblables à celles qui équipaient la 10 CV «tout acier» contemporaine.
Deux types de carrosserie figuraient au catalogue, la torpédo à trois places «en trèfle» et le cabriolet. La production cessa fin 1926, quand Citroën réorganisa entièrement ses usines pour la production en masse d`un nouveau modèle, la B 14. La 5 CV à «ailes rondes» est la dernière évolution de la petite voiture inoubliable, sympathique, incroyablement robuste, sur laquelle tant de Français ont appris à conduire.

Caractéristiques de la C3 1925

Fiche technique : Citroën C3. Puissance fiscale 5 CV.
Moteur : quatre cylindres monobloc, alésage : 55 mm, course : 90 mm, cylindrée 1856 cm3, puissance réelle 11 ch à 2100 tr/mn. Vilebrequin monté sur deux paliers, soupapes latérales, graissage par barbotage, refroidissement par thermosiphon. Allumage par magnéto.
Embrayage : à disque unique et boîte de vitesses (trois rapports commandés par levier central) formant bloc avec le moteur.
Freins : à pied sur tambour en sortie de boîte, frein à main sur tambours de roues arrière.
Suspension 2 avant et arrière par ressorts demi-cantilever simples. Pont arrière en tôle emboutie, type banjo.
Dimensions : voie 1,19 m, empattement 2,35 m. Poids à vide 590 kg.
Pneus : Michelin Confort 715 × 115.
Carrosseries : torpédo trois places «en trèfle» et cabriolet deux places. Roue de secours à l’arrière («Trèfle››) ou latérale (cabriolet), une seule porte, côté opposé à la direction.
Couleurs : rouge bordeaux, bleu marine, beige «café au lait››, ou brun «havane››.
Performances : 60 km/h. Consommation : 6 à 7 litres aux 100 km.

1925 La Citroën 5 cv type C 3 torpédo « Trèfle »

Devant le succès de la 5 CV type C 1922 qui devint très vite à la fois voiture populaire et voiture de jeunes,  il fut décidé de l`étoffer quelque peu. Elle prit le nom de «Trèfle» lorsqu`on lui ajouta, en octobre 1924 une troisième place au centre, à l`arrière. Comme elle représentait le type le plus marquant des 5 CV, on prit vite la mauvaise habitude d`appeler «Trèfle» tous les modèles de la gamme 5 CV.

1925 c3 trefle ailes rondes

Caractéristiques de la Citroën type C 3 « Trèfle »

Citroën type C 3, dite « Trèfle ». Puissance fiscale 5 CV.
Moteur : 4 cylindres monobloc, à soupapes latérales, alésage 55 mm, course 90 mm, cylindrée 856 cc. Vilebrequin 2 paliers. Puissance réelle 11 ch à 2100 tr/mn. Circulation d’eau par thermosiphon (pas de pompe à eau). Graissage par barbotage. Allumage par magnéto. Démarrage électrique. Réservoir à l`avant (18 litres). Carters moteur et boîte en alu.
Embrayage : à disque sec unique.
Boîte de vitesses : 3 vitesses, levier à rotule au centre du plancher.
Transmission : arbre avec flectors Hardy, pont arrière à carter embouti (en 1924 : pont type banjo en une pièce, très renforcé).
Eclairage : électrique.
Suspension : 4 ressorts semi-elliptiques. Pas d`amortisseurs.
Freins : à pied sur transmission, tambour à la sortie de boîte (pédale à droite, accélérateur au centre). A main sur tambours des roues arrière.
Volant : à 3 branches en aluminium.
Pneus : Michelin 715 X 115.
Châssis : empattement 2,35 m. Voies 1,19 m. Longueur hors tout 3,25 m. Largeur hors tout 1,40 m. Hauteur (capote levée) 1,65 m.
Poids : 580 kg à vide.
Carrosserie : torpédo 3 places «en Trèfle››. Marchepied en aluminium, partie arrière arrondie dépassant légèrement de la capote, 2 coffres de part et d'autre de la place arrière, roue de secours sur le côté gauche (1 porte sur le côté droit) jusqu’en 1924, à l’arrière de la pointe ensuite.
Variantes : cabriolet 2 places, fourgonnette, torpédo 2 places.
Performances : Vitesse maxi. 60 km/h. Consommation essence aux 100 km : 7 litres.

Compotrefle copie 1

Couleurs et matières Citroën Type C

Sortie en I92I, les premiers modèles (type C torpédo 2 places sur châssis court, et très probablement dans les premières séries) furent exclusivement peints en jaune pamplemousse. A noter que pour les premiers modèles, les encadrements de pare-brise et certains accessoires n’était pas nickelés mais peints.

Sur tous ces modèles, ailes, roues et bavolets étaient noirs, sans filets (du moins en série), et les parties brillantes étaient nickelées (et non chromées).

Les voitures, même en version "luxe", étaient livrées sans enjoliveurs de roues, et quand il en fut ajouté par des clients soucieux de "personnaliser » leur Citroën, ce ne pouvait être que des enjoliveurs recouvrant le moyeu et la partie centrale de la roue, mais laissant apparents les écrous : en fait, de véritables "chapeaux" de roue, avec une calotte... et des bords.

Au salon I923, les couleurs disponibles étaient : jaune, rouge, bleu, beige et marron.

Jamais un cabriolet ni un "Trèfle" ne furent peints en jaune clair : il y en eut des "chamois", des "bleu marine", des "bordeaux", le "Trèfle" fut quelque fois “havane".

Extrait de l’article de notre président de l'époque, Pierre Dumont, dans la revue du Club Citroën de novembre 1971.

Production Citroën 5CV

Présentée au Salon de 1921, sa fabrication dura 4 ans, d'abord en version torpédo deux places et la plupart du temps peinte en jaune clair, d'où son surnom de «Petite Citron››, puis en cabriolet, enfin en torpédo à 3 places : la populaire «trèfle» de 1925.
1922    C                   1 à 7.000
1923    C2       7.000 à 20.000
1924              20.000 à 47.000
1925    C3   47.000 à 75.000
1926            75.000 à 80.000
                                  80.759 exemplaires seront fabriqués de mars 1922 à décembre 1926.

 

Types mines et numéros de châssis des Citroën 5HP

5HP Type C numéros châssis Types mines
Les Citroën LN et LNA à collectionner

1976 - 1986 Les Citroën LN et LNA

Le 01/01/1976

En 1974, Peugeot commercialise la 104 coupé, Citroën vend les petites Autobianchi A112 du groupe FIAT. Mais cette année-là, Peugeot initialise l’achat de Citroën.
Alors, la Citroën LN prit pour objectif de combiner les atouts des deux marques : Sa coque, similaire à celle de la 104 construite chez Chausson dont la LN permet de rentabiliser les outillages et son petit moteur 602 cm3.

Vous m'avez revue à Rétromobile du 31 janvier au 4 février 2024 sur le stand du CLUB CITROËN FRANCE Hall 3 F082.

1919 La Citroën Type A

1919 - 1921 La Citroën Type A

Le 01/01/1919

L’âge de la tôle et du nickel: Les Vintages

L’essence et les matières premières sont chères. Mais pour rebondir, l’industrie européenne anéantie par la guerre s’organise en série, enrichit ses méthodes de fabrication, se taylorise, réduit le nombre de modèles.

Au lendemain de la guerre, André Citroën n’était pas un novice en automobile. En 1913, il relevait la firme Mors qu’il équipa de gros moteurs sans soupapes Minerva-Knight. Il fondait aussi la firme des engrenages à chevrons.

La Type A

En lançant la Type A, en juin 1919 une automobile « Prête à rouler», c’est une révolution commerciale qu’André Citroën met en place : Réseau de distribution et d’après-vente, pièces de rechange, crédit, signalisation routière, taxis, jouets…
La type A, dite 10cv,  est inspirée de la Zèbre de Jules Salomon, inventeur de la voiture légère.
Son prix de lancement, 7 950 francs, est exceptionnellement bas pour l’époque.

 

 

1922 - 1923 Citroën B2

1922 - 1923 Citroën B2 "Caddy"

Le 01/01/1922

En 1913, Le carrossier Henri Labourdette, 35 avenue des Champs Elysées, déposait son brevet SGDG de skif-torpédo à ailes en hélice, mariage des technologies nautique et automobile. Il présente cette idée sur une Peugeot type 160.

En 1919, Henri Labourdette adapte ce style à la 10HP type A.

Ce prototype annonce la B2 Caddy de 1922.

La Caddy est une version poussée et allégée de la B3 de série.
Cette voiture sportive pouvait être utilisée aussi couramment que la B3.
Cette torpédo genre Skiff est une 5 places avec pointe AR en bateau, ailes AV et AR en hélice relevées vers l'extérieur, parebrise fixé en coupe-vent très bas. Ces éléments de style lui donnent une ligne très séduisante. Son élégance lui valut les faveurs de Mistinguett comme voiture personnelle.

Une capote permet de s'abriter par mauvais temps.

 

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

1922 - 1926 Citroën 5CV type C

Le 01/02/1922

La type A puis la B 2 étaient des voitures à 4 places correspondant à la fois aux besoins et aux moyens de la plupart des automobilistes français de l'époque.

Mais André Citroën pensait à la clientèle au budget limité et aux débutants dans la conduite dont les femmes et les jeunes. Ainsi naquit, en 1922, la 5 CV.

1924 1926 Les Citroën B10 et B12 Tout Acier

1924 - 1926 Les Citroën B10 et B12 "Tout Acier"

Le 01/01/1924

En octobre 1924, au salon de Paris, Javel est à I'heure du “tout-acier". Citroën joue la carte du progrès technologique et présente ses premières carrosseries «Tout acier» sur des châssis B 2, qui prend pour la circonstance la désignation de B 10. Leur carrosserie entièrement métallique était faite de quatre éléments emboutis à froid assemblés par soudure.
Livrable sous la forme de torpédo ou de conduite intérieure, la Tout Acier offrait en cas de choc une grande résistance.

La “Tout acier” était robuste, facile à utiliser et offrait un maximum de confort. Grâce à elle, Citroën popularise la conduite intérieure (en 1919, 80 % des voitures particulières étaient ouvertes ; en 1930, grâce à ce nouveau type de construction, 90 % d'entre elles étaient fermées). La conduite intérieure détrône le torpédo.

A partir de la B 10, toutes les Citroën seront des tout-acier. 

Elle servit de transition entre la «B 2» et les «B 12›› et sa production atteignit en 1926 le chiffre de 100 véhicules par Jour.

D’octobre 1924 à décembre 1925, 17 259 exemplaires de B 10 furent fabriqués.

1931 - 1977 Les autocars des Transports Citroën

1931 - 1977 Les autocars des Transports Citroën

Le 01/01/1931

La création des Transports Citroën

André CITROEN, premier constructeur européen d’automobiles, lance sa division poids-lourds en octobre 1926 avec la B15 qui offre pour la première fois une charge utile de 1000 kg.
Puis pour le déplacement de passagers, André Citroën crée les Transports Citroën le 27 octobre 1931 .
PauI JOSEPH prend sa direction et va développer  ses  propres réseaux (28 sur toute la France) dont le principal est celui de Paris. Installé en août 1932, il comptait près de 300 voitures, 58 lignes, dont 8 grandes…

1934 La Traction 7A Berline

1934 La Citroën Traction 7

Le 01/01/1934

La « 7 A» fut le premier modèle d’une lignée qui devait se prolonger jusqu’en 1957. Son succès ne se démentit en effet jamais, en dépit des critiques qui saluèrent sa sortie, le 19 avril 1934. La première traction avant Citroën fut présentée aux concessionnaires de la marque le 21 mars et le premier client en prit livraison le 7 mai. C’était vraiment une voiture révo1utionnaire réunissant en un ensemble cohérent une considérable somme d’innovations. Sa carrosserie et son moteur resteront des chefs-d’0euvre de conception et ont été une source d’inspiration pour de nombreux constructeurs.

1934 La Traction 7S Roadster

1934 La Citroën Traction 7S Roadster

Le 01/02/1934

Un mois après la « 7 ». Citroën lança la « 7 S » qui en était la version de hautes performances el qui allait prendre au Salon de 1934 sa désignation définitive de « 11 Légère ».  Contrairement à Ia « 7 A ». Livrée seulement sous forme de berline, la « 7 S » fut présentée également en cabriolet et en faux-cabriolet tôlé. A 2 places intérieures et 2 places dans le spider.

1936 Catalogue d'accessoires pour Citroën

1936 Catalogue accessoires CITROËN

Le 02/01/1936

Catalogue d'accessoires pour toutes les Citroën d'avant 1936 : Traction, utilitaires Type 32 et 45, équipements d'hiver, outillage, peinture et produits...

1938 La Citroën Traction 15 Six

1938 Evolutions des Traction 15-6 cylindres

Le 02/01/1938

Naissance de la Citroën Traction 15 Six

Au salon de 1934, était exposé sur le stand Citroën le prototype d`une traction avant de sport, de couleur rouge, qui portait l’inscription : «La 22 -Citroën 8 cylindres traction avant Cabriolet»

Cette huit cylindres en V, à roues avant motrices, annoncée comme la voiture de série la plus sûre et la plus rapide du monde, devait rester à l`état de prototype.

D`un alésage de 78 mm et d`une course de 100 mm (identiques au moteur de la 11 CV), le moteur 8 cylindres en V de la 22 avait une cylindrée de 3822 cm3. Sa puissance réelle était annoncée pour 100 ch et sa vitesse de pointe pour 140 km/h.

Les carrosseries prévues pour la 22 étaient celles de la 11, c`est à dire berline, familiale, cabriolet, faux-cabriolet, coupé de ville et coupé long.

Elles se distinguaient de la quatre cylindres par une finition intérieure plus soignée et surtout par une présentation extérieure différente : capot plus long, avec un seul volet de chaque côté, pare-chocs doubles, baguette le long des portes, au-dessus de la moulure de ceinture, phares encastrés dont le carénage englobait les avertisseurs. monogramme 8 sur la calandre.

Le salon terminé, la 22 disparut dans l’oubli, laissant peu de traces de sa courte apparition. Mais au moment où des constructeurs tels que Ford (moteur 8 cylindres en V) et Renault (moteur 6 cylindres en ligne) connaissaient en France un certain succès, Citroën ressentait le besoin, pour sa clientèle d’un modèle plus puissant que la 11.

 

 

1949 - La Citroën 2CV

1948 - 1990 La Citroën 2CV

Le 02/01/1948

A l’ouverture du Salon de Paris 1948, quand Pierre Boulanger dévoile lentement la 2 CV devant le Président de Ia République, Vincent Auriol, elle stupéfie par son aspect insolite, l’astuce de ses aménagements, son caractère économique, ses possibilités d’utilisation multiples. Son moteur deux cylindres à plat refroidi par air est d’une conception originale.
La 2CV, un Art de Vivre

Elle exprime une nouvelle philosophie du transport individuel. La presse est perplexe. Le public aussi. Pas longtemps : en 1950, l’afflux des commandes fait grimper le délai de livraison jusqu’à six ans.

1954 Citroën Gamme Utilitaire

1954 Citroën Gamme Utilitaire

Le 02/01/1954

Du petit utilitaire Type H au poids lourd T45, en passant par le U23 lancé en 1935, qui mène sa carrière en parallèle à celle de la Traction. Le U23 a été redessiné en 1953 façon camion américain.  Il vivra ainsi jusqu'en 1967  avant son remplacement par le "Belphegor".

1955—1975 Les Citroën DS

1955 - 1975 La Citroën DS

Le 01/01/1955

Le 6 octobre 1955, à Paris, la DS 19 faisait son apparition au Salon de l’Automobile.

La Citroën DS est révolutionnaire, non seulement par sa ligne aérodynamique mais aussi par sa suspension hydraulique et les techniques nouvelles employées.

Elle était digne de succéder à la Traction, 20 ans de carrière l'une comme l'autre... Son succès fut considérable.

Elle coutait 930.000 F en 1955, et fut produite durant presque vingt ans : la dernière DS sortit de chaine le 24 avril 1975.

1961 La Citroën AMI 6

1961 - 1969 La Citroën AMI 6

Le 02/02/1961

La voiture «kilomètre / confort» la moins chère du monde ››
Elle fût présentée à la Presse le 24 avril 1961 à la base aérienne  de Villacoublay : la voiture «kilomètre / confort» la moins chère du monde ››.
Au son de "Je me voyais déjà..." de Charles Aznavor.
Les chevrons sur le capot du modèle pré série 1961 étaient déjà abandonnés sur les voitures de la présentation. Les faces avant comportaient deux baguettes parallèles de clignotants monobloc qui traversaient la calandre. Du fait de leur fragilité, elles furent raccourcies et remplacées sur la voiture de série par un pare-chocs complémentaire en tube chromé que nous connaissons bien.

1967 Camions Citroën 350 à 800

1967 Camions Citroën 350 à 800

Le 02/01/1967

En 1967, Citroën offre une gamme complète de 2,5 t. à 11 t. de charge utile, les 350, 370, 450, 600, 700 et 800.

Différents empattements, moteurs, boites de vitesses et couples sont proposés dans chaque tonnage. Ceci permet un choix précis pour chaque besoin.

Certains avantages techniques qu'ils sont seuls à posséder confèrent à ces camions une tenue de route remarquable mais, plus encore, c'est leur très grande robustesse qui est leur première qualité.

Très confortables, conçus en fonction de l'intensité du trafic, les camions Citroën autorisent une rotation plus rapide, donc un haut rendement.

1968 - 1987 La Citroën Méhari

Le 02/01/1968

Héritière de la baby-brousse de 1962 fabriquée en Côte-d’Ivoire dans les forges et ateliers de l'Ebrié à Abidjan, la Méhari est lancée le 11 mai 1968 sur le golf de Deauville en plein événements de Mai 68.
La Méhari évoque l'insouciance et les balades estivales en bord de mer. C’est un original pick-up à 4 places, véhicule tous chemins tous usages. Il est équipé du moteur 602 cm3 de 28,5 ch SAE à 5400 tr/mn, 3CV fiscaux, et atteint 105 Km/h. Sa carrosserie en ABS teinté dans la masse et emboutie à chaud offre une bonne tenue à la corrosion et aux petits chocs.

La Citroën AMI Super

1973 - 1976 Citroën AMI Super

Le 05/01/1973

Mettre le moteur 1015 cm3 de la GS, désormais proposée en 1220 cm3, sur notre AMI 8 populaire, permettait à Citroën de proposer une large gamme de voitures familiales et d’offrir le meilleur compromis entre prix et performances. Telle était la définition produit de l’Ami Super présentée en 1973. Cependant, trop proche en prix mais tellement éloignée techniquement  de la GS, la carrière de l’Ami Super fut courte.

Ses qualités et le peu de modèles produits en font une voiture de collection, nerveuse, souple et agréable à conduire.

 

 

1970 - 1980 La Citroën GS

1970 - 1980 Citroën GS

Le 07/01/1970

Véhicule de grande diffusion, la GS se situe dans la gamme Citroën entre l’Ami 8 et la DS Spécial, sur un segment de marché particulièrement prisé de la clientèle. Dotée de caractéristiques techniques supérieures à celles de I‘Ami 8 et d’un pouvoir de séduction incontestable, elle sut concilier des impératifs contradictoires et s’imposer comme une voiture familiale et sportive, pratique mais racée, à l’aise en ville comme sur route. Véhicule de grande diffusion, la GS se situe dans la gamme Citroën entre l’Ami 8 et la DS Spécial, sur un segment de marché particulièrement prisé de la clientèle. Dotée de caractéristiques techniques supérieures à celles de I‘Ami 8 et d’un pouvoir de séduction incontestable, elle sut concilier des impératifs contradictoires et s’imposer comme une voiture familiale et sportive, pratique mais racée, à l’aise en ville comme sur route.

La Citroën GS Birotor

La Citroën GS Birotor 1974 - 75

Le 07/01/1974

En 1964, Citroën compte appliquer au moteur, la révolution qu’il a réalisée pour la traction avant, et pour la suspension oléopneumatique, le rotatif ! Ainsi après 10 ans d'études et d'essais sur les M35 et les prototypes GZ, nait la GS Birotor.

La GS Birotor : une GS embourgeoisée, vitaminée, virilisée avec des pneus de 165/80/14, des ailes élargies et son moteur birotors type Wankel.

Mais le choc pétrolier et la frugalité du moteur rotatif la vouent à l'échec. La GS Birotor qualifiée de "Collection" en 1977 dès son retrait de la circulation par Citroën est rare et réservée aux collectionneurs techniciens.

 

 

1974 - 1991 La Citroën CX

1974 - 1991 La Citroën CX

Le 07/02/1974

La Citroën CX est la digne héritière de la Traction et de la DS. C'est le dernier modèle de Citroën à être étudié avant son rachat par Peugeot.
Sa descendance est assurée par l’XM, la C6 et la C5X…

Les CX n’ont cessé d’évoluer de 1974 à 1988 pour la berline.

Sa carrière s'est poursuivie jusqu'en 1991 pour le break Evasion fabriqué chez Heuliez.

Aujourd'hui, elles sont devenues des Citroën à collectionner.

Une enquête d'AAA-Data et Auto Plus de 2024 révèle qu'il reste 2027 CX (dont 69 Prestige et 33 Pallas) sur les 1.200.000 produites jusqu'en 1991.

1980 - 1990 La 2CV Charleston

1980 - 1990 La Citroën 2CV Charleston

Le 08/01/1980

Née dans les années vingt à Charleston, en Caroline du Sud, cette danse américaine fut très à la mode vers 1925. Elle inspira les couturiers et la mode féminine lui emprunta sa gaité, son charme et sa légèreté...
Après le succès des 2CV de couleurs vives en 1975 et celui de la série spéciale « Spot » en 1976, le service marketing Citroën demande en 1981 une nouvelle série spéciale pour relancer la production de la 2 CV.
C’est ainsi que le minimum automobile dessiné par Flaminio Bertoni et Jean Muratet est devenue séduction, grâce à la géniale inspiration Art Déco de Serge Gevin.
Styliste, il est aussi l'auteur de la « Dolly ». Il a su donner l'idée de « Deuche Folle » à l’image rétro et gentiment snob à la 2 CV.
Son dessin synthétise les courbes naturelles de son profil et celles harmonieuses des voitures de prestige bicolores des années 30.
Monsieur Jouvin a exploité avec talent ce style qui se prête si bien à la 2 Cv.

 

 

1990 - 2000 Les Newtimers Citroën

Le 06/01/1990

Elles n'ont pas 30 ans, ne sont pas considérées comme de "Collection" mais nous intéressent par leur originalité, leur sportivité ou leur rareté, ce sont les newtimers.

Voici quelques newtimers Citroën : AX Sport - AX GTi - Saxo VTS et VTR - ZX Volcane 2 litres - ZX 16V "167" - Xsara VTS et VTR - Xantia Activa - C1 Chrono - C1 by Loeb - C2 by Loeb - C2 VTS et VTR - C3 VTi - C3 Pluriel - C4 by Loeb - C5 Tourer Exclusive Hydractive - C6 - DS3 - DS4 - DS5... Ils basculent dans la cétégorie Youngtimers dès leurs vingt ans.

1993 - 2001 La Citroën Xantia

1993 - 2001 La Citroën Xantia

Le 01/01/1993

Dessinée par Bertone, en « deux volumes et demi » avec quatre portes et hayon, elle est finalisée par Daniel Abramson au centre de style Citroën . Dynamique, fluide et robuste, cette berline reprend certaines lignes de l'XM, et impose une nouvelle silhouette dans la gamme Citroën. Grâce à son style unique, la Xantia sera élue plus belle voiture de l’année en 1993, année de son lancement.

La Citroën Xantia ACTIVA

1994 - 2001 Citroën Xantia Activa

Le 01/01/1994

La Citroën Xantia Activa est présentée en septembre 1994 au Salon de Paris. C'est l'aboutissement de toutes les qualités et les possibilités de l'hydraulique assisté de l'électronique. La Xantia Activa est la première voiture au monde à virer à plat grâce à son système SC-CAR de contrôle actif antiroulis. Elle dispose d'équipements supplémentaires par rapport à la Xantia 16V : airbag conducteur, réglages de la largeur des dossiers de sièges avant.

 

 

5 CV Torpédo Type C C2 C3

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